Les bioessais mettent en lumière les raisons des déséquilibres des milieux aquatiques ou la toxicité des rejets. Face à la pollution moderne de l’eau nous avons développé des outils novateurs pour la surveillance globale de la qualité de l’eau et la détection de contaminants.
Les analyses par bioessais assurent une évaluation globale et pertinente. Elles permettent de déterminer les effets des contaminations, orientent les analyses physico-chimiques à réaliser, et en réduisent ainsi le nombre.
Tame-Water, donne tout son sens à l’analyse de la qualité de l’eau en utilisant les mesures par bioessais et en apportant des informations complémentaires à celles fournies par les analyses classiques.
Tame-Water réalise ses prestations en interne, dans ses laboratoires, selon des méthodes propriétaires ou normées, dans une organisation exigeante en terme de qualité et de bonnes pratiques.
Tame-Water dispose de 4 laboratoires dédiés :
- traitement des eaux et substances,
- biologie cellulaire procaryotes,
- biologie cellulaire eucaryotes
- production de biosondes pour plateformes de mesures/toximètres.
Tous sont équipés d'appareils spécifiques assurant une autonomie totale et donc une réactivité maximale pour la fourniture des résultats d’études.
Les tests biologiques sont officiellement pris en compte par les stratégies d'application de la Directive Cadre Eau (DCE) Européenne.
Ainsi dans la Stratégie Commune de mise en œuvre (« Common Implementation Strategies »), ces derniers sont reconnus comme particulièrement propices à :
- la détection précoce de perturbations biologiques,
- l’établissement d’un lien entre mesures chimiques et écologiques,
- l’établissement d’un lien dose/exposition/effets,
- la constitution d’un système d’alerte amont,
- la mise à jour des évaluations de risque.
Plus généralement, ceux-ci permettent de détecter les points noirs appelant à des suivis plus poussés, à améliorer la qualité des évaluations et à prendre en compte le risque d’effets cumulatifs dit « effet cocktails ».
Les approches par mesures d’effets biologiques doivent faire partie du dispositif décisionnaire et opérationnel pour atteindre le bon état écologique des masses d’eau continentales et côtières. C'est l'obligation légale de la Directive.
En parallèle, la France a choisi d’adopter une démarche renforcée en initiant de multiples programmes de Recherche des Substances Dangereuses dans l’Eau (RSDE).